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12-1 Rite de conclusion

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IGMR. 165. Ensuite, debout au siège ou à l’autel, le prêtre tourné vers le peuple dit, les mains jointes : Prions et, les mains étendues, prononce la prière après la communion, que peut précéder un bref moment de silence, à moins qu’on n’ait déjà gardé le silence aussitôt après la communion. A la fin de l’oraison, le peuple acclame : Amen.

IGMR. 167. Ensuite le prêtre, étendant les mains, salue le peuple en disant : Le Seigneur soit avec vous, et le peuple lui répond : Et avec votre esprit. Et le prêtre, joignant de nouveau les mains et, aussitôt, posant la main gauche sur la poitrine et élevant la main droite, ajoute : Que Dieu tout-puissant vous bénisse et, faisant le signe de croix sur le peuple, il continue : Le Père, le Fils et le Saint-Esprit. Tous répondent : Amen.
En certains jours et à certaines occasions, on fait précéder cette bénédiction, selon les rubriques, par une autre formule plus solennelle, ou par une prière sur le peuple.
L’évêque bénit le peuple en prenant la formule qui convient et en faisant trois fois le signe de croix sur le peuple.

IGMR. 168. Aussitôt après la bénédiction, le prêtre, les mains jointes, ajoute : Allez, dans la paix du Christ : et tous répondent : Nous rendons grâce à Dieu.

IGMR. 185. Si l’on emploie la formule de bénédiction solennelle ou la prière sur le peuple, le diacre dit : Inclinez-vous pour la bénédiction. Lorsque le prêtre a donné la bénédiction, le diacre renvoie le peuple en disant, les mains jointes et tourné vers le peuple : Allez, dans la paix du Christ.

IGMR. 170. Si la messe est suivie par une action liturgique, on omet le rite de conclusion, c’est-à-dire la salutation, la bénédiction et le renvoi.

Note du webmaster : en effet, la bénédiction et la salutation seront celle de l’action liturgique qui suit. Par exemple, si une messe est dite l’après-midi et qu’elle est suivie par les vêpres, les deux cérémonies peuvent être jointes : le prêtre omet « Le Seigneur soit avec vous » après la méditation suivant la communion, revêt la chape et lorsque les cierges ont été allumés comme ils le sont pour la liturgie des heures, le chantre commence directement l’office de vêpres avec « Dieu, viens à mon aide ».